Témoinage de réussite d’un patient – Greg Puchniak
Vancouver, Colombie-Britannique
Je m’appelle Greg Puchniak et j’ai 48 ans.
Je suis électricien et intégrateur de systèmes. Je travaille pour mon propre compte. Je monte beaucoup d’échelles. Je suis le principal responsable technique de mon entreprise. J’aime faire des activités amusantes, à peu près n’importe quoi en plein air, comme jouer au hockey, au baseball, au golf; faire de la course (en sentier ou à obstacles); et donner des cours de conditionnement physique. En gros, j’aime tout ce qui se fait à l’extérieur.
En 2004, alors que je jouais au hockey, j’ai été pris de court et je me suis déchiré le ligament croisé antérieur. À l’époque, le médecin m’a dit que j’allais probablement avoir de l’arthrite. Mais, bien sûr, j’avais 30 ans et je me suis dit « quand j’aurai 70 ans ». Ce n’était pas un gros souci pour moi.
En septembre 2018, en installant une tente, mon genou s’est bloqué. Une IRM a révélé un début d’arthrose et une déchirure du ménisque.
C’est l’une des blessures les plus douloureuses que j’ai eues. La douleur constante, surtout le matin, était presque insupportable.
Quand j’ai vu mon chirurgien, l’une des premières choses qu’il m’a dites, c’est que nous pouvons essayer un produit appelé DUROLANE. C’est une injection servant à remplacer un élément clé du liquide dans le genou qui favorise l’amortissement.
J’ai reçu mon injection le jour de mon anniversaire, le 28 décembre. Au bout d’une semaine environ, les choses se sont vraiment améliorées. J’ai pu recommencer à courir. Je ne faisais que quelques kilomètres à l’époque, mais pour moi, c’était énorme.
DUROLANE m’a vraiment donné un outil, un coup de pouce, pour ainsi dire, pour reprendre mes activités. Maintenant, je vais sur les sentiers, sur la route, et je fais ce qui me plaît. Je suis très satisfait du produit.
Avis de non-responsabilité : Les renseignements présentés dans les témoignages de patients sont représentatifs de l’expérience de ces patients seulement et ne font pas office de conseils médicaux.
Cliquez ici pour les indications thérapeutiques.
Témoignage – Jacques Gagnon
Gatineau, QC
Je suis un adepte de la course à pied depuis 1975. Depuis ce temps, j’ai participé à des centaines de compétitions, allant du 5 km au marathon, ma distance préférée. J’en ai couru une cinquantaine dont Boston, deux fois, Chicago, Washington, Amsterdam, Toronto et plusieurs fois, Québec, Montréal et Ottawa. Mon record personnel au marathon est de 2h38 minutes.
J’ai couru des dizaines de milliers de kilomètres en dépit du fait que j’ai les pieds plats et que je souffre d’une pronation sévère au pied gauche. Bien sûr, on ne court pas autant sans subir de blessures. J’ai eu mon lot de blessures, dont plusieurs entorses.
La dernière entorse subie il y a 4 ans en a été une de trop. J’ai eu, par la suite, de la difficulté à la faire guérir puis à courir, à cause de la douleur et du fait que dès que je dépassais 10 km, ma cheville enflait. Une IRM a dénoté des changements dégénératifs à l’articulation sous-astragalienne, arthrite de la cheville gauche. On m’a donné deux options : Fusion de la cheville gauche ou de la cortisone comme solution très temporaire.
C’est alors qu’il y a 3 ans, j’ai eu connaissance d’un produit qui pouvait améliorer ma condition, le Durolane SJ.
Après en avoir discuté avec mon médecin sportif, j’ai eu une première infiltration. Après quelques jours, le temps que le produit fasse effet, j’ai constaté une nette amélioration et, pendant les 9 mois suivants, j’ai pu m’entraîner comme je le faisais auparavant et participer à des demi-marathons sans problèmes. Après 8 ou 9 mois, il faut procéder à une autre infiltration.
J’en suis, cette année, à ma troisième et je suis toujours aussi satisfait des effets bénéfiques durables du produit. J’ai 72 ans et je cours en moyenne 65 km par semaine sur la route et en sentier. Vive le Durolane!
Exclusion de responsabilité: Les renseignements présentés dans les témoignages de patients représentent l’expérience précise du patient et ne constituent pas un avis médical.
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